Aujourd'hui, voici une critique parue dans Auracan, le 18 janvier 2011. Un article signé Manuel F. Picaud.
Pour ceux qui n'arrivent pas à lire :
Pendant qu'Hervé Bourhis s'est intéressé aux Beatles avec lePetit livre Beatles paru chez Dargaud, Frédéric Bertocchini et Jef établissent un intéressant biopic sur une étoile du rock morte au sommet de sa gloire à l'âge de 27 ans. Ils s'intéressent en effet au leader charismatique des Doors qu'on a déjà vu au cinéma, à savoir Jim Morrison disparu le 3 juillet 1971, enterré au cimetière du Père Lachaise à Paris et, 40 ans après, toujours objet d'un véritable culte.
Attiré par la France, son esprit de révolte de 1968 et sa liberté, Jim Morrison y a terminé sa courte vie. Il ne se sentait pas bien dans l'Amérique puritaine, intolérante et engluée dans la guerre du Vietnam. On le trouve avec ses différentes copines, son groupe et ses voyages.
Frédéric Bertocchini retrace quelques moment clés de son parcours. Avec un dessin conservé en noir et blanc, Jef réussit à capter la face sombre de ce poète de la mort. L'album composé de scènes de flash-back est saisissant et exprime avec bonheur la personnalité tourmentée et révoltée du jeune américain.
A lire en réécoutant les chansons cultes des Doors !
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